Poême de carla josh

Elle était si petite, elle me faisait rire.

Son regard était si charmeur, elle en aurait fait battre des cœurs.

Son allure de petite femme quant elle me regardait, je n’avais pas le droit d’en rire sinon Noémie disait t’es pas gentille.

A maison est devenue si vide depuis que Noémie est partie, d’une autre manière j’aurai voulu fêter son départ, Noémie était trop jolie pour mourir.

Elle n’avait que cinq ans Noémie disait plus tard quand je serais grand je ferais tout comme maman, je me marierai j’aurai des enfants, mais Noémie s’est éteinte alors qu’elle n’était qu’une enfant.

Sous mes yeux les siens se sont fermés, Noème me disait pleur pas je guérirai, Noèmie ne savait pas que l’on ne revient pas ce voyage est sans retour, Noémie était trop jeune pour vouloir mourir.

Je n’ai pas eu le courage de lui dire , Noémie tu ne guérira pas , tes yeux vont se fermés pour aller rejoindre les anges , la- bas une place t’est réservée , Noémie part va rejoindre les anges , finis en avec ta souffrance , de la haut tu nous verra , Noémie pourquoi ?.

                             Carla Josh

Tes larmes coulent sur ton visage, petite fille ne pleure pas, elle est partie sans rien te dire, dans ta petite tête plus rien ne va, tu dis seulement qu’elle ne reviendra pas.

Le billonnage des feuilles des arbres quand tu les regardes forme l’immense désespoir, pourquoi est elle partie tu es encore si petite, tu ne comprends pas qu’elle a pu te laisser, elle qui te disait toujours jamais je ne t’abandonnerai.

Aujourd’hui c’est la fête des mères, tu dis seulement qu’à toi ton cadeau ne sera qu’une rose, de la –haut  elle n’a besoin de rien, seulement tu aurais tant voulu lui  offrir des câlins.

Mais cette pierre tombale est si glaciale rien de semblable elle qui avait la peau si douce et l’odeur de son parfum, cette pierre ne peu pas te faire ressentir la douceur de ses lèvres quant elle t’embrassait le matin.

Tu dis de la –haut  elle peu te voir, mais toi tu voudrais tant lui prendre la main, la retenir pour qu’elle ne puisse de nouveau repartir, mais tu dis que ceci n’arrive que dans tes rêves qui finissent en cauchemar quand tu te réveille le matin en criant maman revient.

                                 Cala Josh

Petite fille tu reste dans le silence, tu as peur de raconter ce qu’il te fait, toi qui ne lui a rien demandé.

Il entre dans ta chambre , ton visage se meurtri , il dit qu’il vient te punir car tu as encore désobéie , sa manière de te faire culpabiliser pour le mal qu’il te fait , tu ne dois pas le dire à ta maman , car il t’a promis qu’il le nierait , qu’il arriverait à ce que tu n’arrives pas à le mettre en cause , que ce n’est qu’un de tes petit mensonge , d’une gosse qui n’est pas comme les autres .

Tes larmes coulent  sur ton visage, des sanglots muet, tu ne dois pas crier, ses mains sale caresse ton petit corps, tu ferme les yeux, tu ne veux pas voir cet  affreux, lui qui dit être ton père, cet être cruel.

Tu dois rester dans le silence, il ne faut pas que tu le fasses voir à ta maman quand elle rentre, ses menaces gravées dans ta petite tête, lui qui fait l’air innocent et pourtant il salit son enfant.

Petite fille il n’est pas digne d’être ton père , ne crois pas que tes amies sont punis de cette manière , il faut que tu rompre ton silence , personne ne peu rester dans le silence pour ce que l’on fait à un enfant ,n’ai pas peur de parler même si il te dit qu’il t’aime , qu’il ne peu pas s’empêcher de te toucher , ne brise pas ta jeunesse brise plutôt le silence , il n’est pas digne d’être ton père , plus heureuse tu le sera quant il ne sera plus la , plus de crainte quand ta maman partira car celui qui disait être ton papa ne sera plus la , plus rien tu ne subira

                                                             Carla Josh

Elle est entrée dans ma vie un soir d’hiver

Un sourire d’enfant, un regard étincelant.

Je ne voulais pas me la garder, maintenant je lui demande de ne plus me quitter.

Elle est ma joie quand elle est prés de moi, elle est mon désarroi quand elle s’éloigne de moi.

Je ne voulais pas l’aimer, juste une amitié, mon cœur n’a pas su y résister, mon cœur a voulu l’aimer.

Dans cet aéroport que je hais quand je dois la ramener, je voudrais tant lui crier, ne part pas reste à mes côtés, mais je la laisse s’éloigner.

Je détourne mon regard pour qu’elle ne voie pas mes larmes, je refais le chemin à l’ envers en laissant derrière moi celle que j’aime 

Corps raidit déposé sur mon lit douillet, je resterai près de mon corps pour les regarder défiler en leurs laissant une de mes dernière pensée.

L’apesanteur dans cette chambre glaciale, la mort s’épanouira sur mon visage.

Délivrance ma mort sera arrivée, je ne serai que pour vous un passé.

Accompagnez moi, soyez enchanté, n’éprouvez pas votre regret, soyez heureux pour l’être qui se trouve dans ce cercueil, en l’accompagnant dans sa dernière demeure.

                                                              Carla Josh

L'ivresse au volant, cette voiture folle a tué mon enfant.

Samedi maudit sur cette route meurtri, l'autre est arrivé de plein fouet percutant la voiture de mon enfant.

Il était parti faire la fête, il était sur la route du retour, joyeux il devait être lui qui aimait tant me raconter quant il se réveillait cette soirée si merveilleuse ou l'une de ces filles lui avait fait encore battre son cœur.

J'étais à la fenêtre inquiète, mon enfant n'était pas encore rentré, je chassais de moi cette idée qu'il avait pu avoir un accident, je me laissais plutôt imaginer qu'une de ces filles le retenait.

Je me senti soulager quand j'entendis  une voiture stationnée dans l'entrée ou il se mettait, mais j'ai tout de suite compris quand j'ai ouvert la porte ce trouvaient devant moi deux hommes en uniforme.

Toi à présent tu étais dans ton cercueil, je n'ai pas eu le droit de te revoir car ils m'ont dit que tu n'étais pas beau à voir, ta voiture avait pris feu, pas le droit de te dire adieu, mais c'était plutôt l'autre l’affreux, se rendait il compte qu'il avait tué mon enfant ;

Samedi maudit, je n'aurai jamais du te laisser partir, l'insomnie de ce samedi en attendant le retour de mon fils.

Je marche derrière ton cercueil on a ouvert ce grand trou pour y mettre une moitié de moi , je regarde autour de moi tout ces gens qui ce tenaient près de moi , mon regard s'est arrêté sur ce visage qui ce tenait dans la foule de ceux qui t'aimais , je le maudissais lui était debout et toi allongé , le meurtrier de mon fils mon enfant était venu à son enterrement , est-ce qu'il se rendait compte à présent qu'il avait tué mon enfant .

                                                                                 Carla Josh

 Assis sur le trottoir, l'homme qui n'a plus aucun espoir.

La tête baissée, le bras tendu, il attend une pièce d'un inconnu.

Il n'y a plus de sourire sur ce visage si tendu, on y trouve que de la déchirure.

Il relève la tête pour leur dire merci de ce geste si généreux mais qui le rend tout honteux.

Il voudrait tant voir arriver ce jour qui mettra fin à sa déchirure, de ce monde trop injuste et de la haut pouvoir leurs crier, Messieurs les passants il n'y est plu l'homme assis dans la rue 

Rose rouge tu as déteint, ta couleur est devenue si noire, son image s'éloigne même au loin je n'arrive plus à l’apercevoir.

Goutte de sang je me suis piqué, mon sang coule sur la ligne de ma destinée, noyé de ce rouge comme lui je n'arrive plus à la retrouver.

Rose noire jusqu'ou mon espoir de le revoir, je n'arrive pas à l’oublier, l'aimer au passé jamais je ne le serais, il reste à tout jamais dans mon cœur gravé.

Fatiguée de mes rêves glacés quant il vient me retrouver, je n'arrive pas à marcher à ses côtés, dans ce labyrinthe je ne trouve plus mon chemin pour le rejoindre.

Rose noire répond à mon dernier espoir, qu'un jour je pourrai le revoir, que je pourrai de nouveau le toucher, qu'il ne me restera pas en une statue glacée.

Mon ami ce clown a deux faces, l'expression sur son visage me laissait croire qu'il avait su surmonter son plus grand désespoir.

Ces maudits souvenirs, il faisait semblant d'aimer la vie, je le revoie danser portant sur son visage un sourire apparaissant, le seul moyen pour m'éloigner pour me faire croire qu'il l'avait oublié.

Mon ami était un clown fatigué, nos délires s’assombri, j'ai rien compris, comment un être peut il faire semblant d'être aussi joyeux, alors que dedans tout est si malheureux.

Je l'ai maudit, il m'a trahit, pourquoi m'a t'il menti, je n’ai pas compris.

Mon ami mon clown fatigué, maintenant tu sais que me faire pleurer, elle n'était pas drôle ta dernière blague, ton corps suspendu à cette corde, tu n'étais pas un acrobate.

Mon ami le clown a fermé les yeux, on à découvert sa vraie face, pas de trace de ce clown joyeux, il n'était qu'un clown malheureux en rendant les autres heureux.

                                                                   Carla Josh